Revivre après un deuil, un processus de cicatrisation
Plusieurs fois au fil de notre existence nous serons confrontés à la disparition d’un être cher. Chacune constitue une épreuve douloureuse, parfois violente.
Nous entendons couramment dire aujourd’hui qu’il faut « faire son deuil ». Perçue comme une forme d’injonction, cela engendre pour certains un questionnement quant à leurs émotions, leur vécu: « est-ce normal de souffrir encore après ce temps écoulé? », « quand dois-je avoir fini mon deuil? ».
Les 2 articles suivants apportent un éclairage sur cette question :
Le Dr Christophe Fauré, psychiatre et psychothérapeute, qui a écrit Vivre le deuil au jour le jour (Éd. Albin Michel) et fondé le site internet traverserledeuil.com est interviewé à ce sujet.
« […] après le traumatisme de la perte d’un proche, deux processus intérieurs s’enclenchent chez la personne endeuillée, et de manière spontanée. Le premier, sur lequel on a aucun contrôle et qui ne requiert aucune intelligence, est un processus naturel de cicatrisation psychique. » …
L’expression «faire son deuil», devenue si populaire, est aujourd’hui contestée. Les endeuillés restent attachés à ceux qu’ils ont perdus. […] Ce sentiment d’être incompris, un grand nombre d’endeuillés le partagent. À qui, à quoi l’attribuer ? …
Vous éprouvez des difficultés à retrouver le cap après un deuil ? Nathalie Testa, psychologue à Lyon vous accueille en consultation dans un climat de confiance et avec la plus grande attention.
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